Lettre du 23 juillet 2009
Je rentre de vacances et une lettre d'Anthony m'attendait.
J'avais répondu très vite à sa précédente lettre car il m'avait mis des photos de ses filles et petites filles et me demandait de lui renvoyer car il n'en avait pas d'autres. Anthony me demandait aussi de faire des phocopies couleurs de petites affiches en cas de besoin. Je lui ais fait quelques copies mais je lui ais spécifié que j'avais quelques problèmes d'argent.
Sa réponse est très gentille. Il me remercie de la rapidité avec laquelle je lui ais renvoyé photos et photocopies. Il me dit d'arrêter instament de faire des copies pour lui et de penser d'abord à moi. Il s'inquiéte sincèrement de moi. Il parle peu de lui, si ce n'est que cette phrase : "All things here with me are still the same as I continue to struggle through my day-by-day life here on PA Death Row. This is a condition of stress I fighting myself to deal with each and every day" ("Ici, c'est toujours pareil, je continu à affronter au jour le jour ma vie dans le quartier des condamnés à mort. C'est stressant et je lutte contre moi-même chaque jour")
Je lui communiques mes idées et lui les siennes pour ce qui concerne l'aide que l'on pourrait mettre en place. Il adhère à mon idée de réunir les gens du monde entier qui souhaite lui apporter une aide. Mais hélàs, à ma question concernant le nombre de personnes qui communiquent réellement avec lui la réponse est sans appel !! Nous sommes 6 à lui écrire régulièrement : 2 allemandes de l'association justice-for.org , 2 suédois (dont un semble faire parti d'Amnesty International) un italien qui lui a envoyé des caricatures sympas pour faire la promotion de sa libération et moi même.
Anthony me dit qu'il attend des nouvelles de Suède pour savoir si Amnesty International traitera son cas. De mon côté j'ai pris contact avec mon bureau local d'Amnesty afin de savoir si il est possible de faire quelque chose (Voir la réponse ici). Les dames de l'Association allemande tentent de contacter la presse de Pennsylvanie afin de mettre le cas d'Anthony un peu plus en avant. Mais soit les journaux ne répondent pas soit ils ne veulent pas s'engager dans un scandale.
ENGLISH VERSION
I come back from holidays and Anthony's letter waited for me.
I had answered very fast his previous letter because he had put me photos of his daughters and girls and asked me to send back to him because he hadn't others. Anthony also asked me to make phocopies colors of small posters if necessary. I had makes some copies but I specified that I had some money troubles.
His answer is very kind. He thanks me for the speed with which I have sent back photos and photocopies. He tells me to stop instament to make copies for him and to think me at first. He inquiéte sincerely of me.
He speaks little about him, except that this sentence: " All things here with me still the same are have I continue to struggle through my day-by-day life here one PA Death Row. This is has condition of stress I fighting myself to deal with each and every day "
I communicate him my ideas and he his as regards the help which we could set up. He adheres to my idea to gather people of whole world which wishes to bring him a help. But , in my question concerning the number of persons who really communicate with him the answer is without appeal!! We are 6 to write him regularly: 2 Germans of the association justice-for.org, 2 Swedishs (among which one seems to make party of Amnesty International) 1 Italian which sent him nice caricatures to make the promotion of its liberation and I in France.
Anthony says to me that he waits for news of Sweden man to know if Amnesty International will treat its case. From my part I got in touch with my local office of Amnesty to know if it is possible to make something (See the answer here). The ladies of the German Association try to contact the press of Pennsylvania to put the case of Anthony a little more forward. But or newspapers do not answer or they do not want to make a commitment in a scandal.